10 septembre 2005
Pays des rêves
Assis dans ton lit
Les mains sur les genous
Ton regard court, fuit
Divague un peu partout
Je me demande à quoi tu songe
Toi bel enfant si fragile
Au coeur doux comme une éponge
À la férocité dure comme argile
On ne communique pas ses pensées
Bien sûr, tout le monde est au courant
Mais il est facile de deviner
Ce qui porte ton esprit virevoltant
Les arbres, la nature
Les camions, les quatre roues
Dans ton âme si mature
Qui se transporte de remous
Laisse-toi porter, mon enfant
Tu verras c'est fantastique
Le coeur gros comme un éléphant
Au pays des songes mystiques...
Bah oui, c'est de moi, quoi. Ça vient de mon autre blog, mais je vais coller ici quelques poèmes.
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